mardi 31 mars 2009

Preaching the word in season and out of season - what does it mean? Prêche la Parole en toute occasion ... Qu'est-ce qu'il veut dire?

(Suivra en français après)

In english:

Paul encouraged Timothy to preach the word, in season and out of season. I have always wondered just what he meant by that. Should we be spending our days preaching the Word? Whether people want to hear it or not? Should we be preaching a gospel message to the cashier at the grocery store while a line of people waits behind us? I doubt that is what Paul would have meant.
I think his meaning is that we be perseverant, that we not give up on giving out the Word. We live in a world that rejects God's Word. So did Paul That shouldn't stop us from preaching it. We should also be continually looking for opportunities to communicate the Good News.
We can also talk about things that interest other people, let them find common ground with us on other matters, then find an opportunity to give them the Word: we might be more likely to find a listening ear.
Last night I put on a presentation about Honduras and the question of social justice, to about 15 people - some believers, some not. Lise and I talked about our concern for the children there (4 out of 5 are under-nourished). We talked about the children's Home we have visited for the past 3 years. And we talked about the problem of social justice. I appealed to people to buy fair trade bananas, and other fair trade products. As I talked about the Home, I mentioned in passing that it was an evangelical organisation. Most if not all, already knew I was a Baptist pastor. They showed great interest in what we talked about. Should I feel guilty because I didn't share the gospel with them? They hadn't come for that. And I think I was preparing a ground of relationship with people. The first "evangelists" in John chapter 1 reached out to their friends. How can we reach out to our friends if we have no friends?
I felt, in coming back to Chibougamau, that one of the first things on my agenda, should be to make friends. Hopefully, I will be earning the right to talk with them about my faith.

En français:

Paul a encouragé Timothée à prêcher la Parole en toute occasion. Je me suis toujours demandé exactement qu'est-ce qu'il voulait dire par cela. Devrions-nous passer nos journées à prêcher la Parole? Que les gens veulent entendre, ou non? Devrions-nous être en train de prêcher l'évangile à la caissière à l'épicerie pendant qu'une file de gens attendent pour se faire servir? Je n'ai pas l'impression que c'est ce que Paul voulait dire.
Je pense qu'il voulait dire que nous soyons persévérant, que nous n'abandonnions pas dans l'effort de communiquer la Parole de Dieu. Nous vivons dans un monde qui rejette la Parole de Dieu. Comme Paul y vivait. Cela ne devrait pas nous empêcher de la prêcher. Nous devrions toujours être en train de chercher des manières de communiquer la Bonne Nouvelle.
Nous pouvons aussi parler des choses qui intéressent les gens, qu'ils puissent toruver un terrain commun avec nous en d'autres sujets, et en suite trouver une opportunité d leur donner la Parole: nous risquons plus de trouver un oreille qui écoute!
Hier soir Lise et moi avons fait une présentation sur le Honduras et les quesitons de la justice sociale, avec une quinzaine d eperosnnes - quelques uns étaient croyants, d'autres non. Lise et moi avons partagé notre préoccupation pour les enfants du Honduras (4 sur 5 sont en manque de nutrition). Nous avons parlé au sujet du Foyer que nous visitons depuis trois ans. Et nous avons parlé des problèmes de la justice sociale. J'ai fait appel aux gens d'acheter des bananes équitables - et d'autres produits équitables. En parlant du Foyer, j'ai mentionné en passant que c'était une organisaiton évangélique. La plupart, si non tous, savaient que je suis un pasteur Baptiste. Les gens se sont montrés très intéressés en ce dont nous parlions. Devrais-je me sentir coupable parce que je n'ai pas parlé de l'évangile? Ils n'étaient pas venus our cela. Et je pense que je préparais une relation avec les gens. Les premiers "évangélistes" dans l'Évangile de Jean chapitre 1 sont allés chercher leurs amis. Comment ouvons-nous inviter nos amis au Seigneur si nous n'en avons pas?
J'ai cru, en revenant à Chibougamau, qu'une des premières choses sur mon agenda, devait être de me faire des amis. J'espère qu'ainsi je serai en train d egagner le droit de parler de ma foi.

samedi 28 mars 2009

Evangelical superstition? Superstition Évangélique?

English version
(Version français suivra)

This third trip we made to Honduras really got me thinking about the fine line (or not always so fine?) between faith and superstition.
In Honduras a pretty large percentage of the population is "evangelical". However it is one of the most criminalized countries in the western world. And it is getting worse. A well-travelled friend once told me: "Where there are a lot of Evangelical churches, you will find more crime, poverty, violence and ignorance". I was shocked, and a little angry at his comment.
However as I observe Honduras, I realize what he meant. In the name of evangelicalism you find an extreme version of the prosperity gospel : "Make the pastor rich and God will reward you" (Obviously, it isn't stateed that crudely!). "Walk on the carpet of blessing, put a stuffed envelope on it, and the pastor will annoint you with the oil of blessings after" (They rake in tons of money that way!).
There is no true repentance, and faith in the Lord is diverted to faith in authority figures or in symbols or in some special works... People don't seem to have much idea of the fear of God, or of a living relationship with Him as Father. In a country where 4 out of 5 children go to bed (if they have a bed!) hungry, churches don't seem to be concerned about the cause of the problem. Some churches have "programs" to feed the poor, and do some limited good. But there seems to be a lack of compassion as well. Of course, one becomes hardened to misery that is seen continually. But I can't help wondering what kind of gospel is being preached when evangelicals are not really seen as being different from anyone else. A man is held up and his wallet and jewels are taken. It is learned he is evangelical. "I don't rob from Christians" he is told, and his belongings are returned to him. When I first heard that one I thought it was because of the great life-testimony Christians had. Now I suspect the thief considered himself to be evangelical, and wouldn't rob his own. Perhaps there was an element of fear as well: God would see to it that he "got caught"? The more I see and read of Honduras, the more I tend to the latter interpretation.

But that brings us back to ourselves, in Canada. What kind of a gospel are we preaching and living? Is it a gospel that changes lives? Is repentance a result of the fear of God as well as a response to His love? Or is it just adopting a more convenient lifestyle? Do we "follow the Lord" in the hopes that he will help us in our business? Is that why in the USA it is reported that churches have been filling up since the financial crisis has hit?
Are we following the theology of Job's three friends, who seemed to see living for God as a way of avoiding suffering? What do we need to do?

Version en français:

Le troisième voyage que nous avons fait au Honduras m'a vraiment fait penser concernant la différence entre la foi et la superstition, et comment elles peuvent quelquefois être confondues. Au Honduras, une assez grande pourcentage de la population est "évangélique". Néanmoins, c'est un des pays avec le plus haut taux de criminalité dans le monde occidental. Et cela va de mal en pire. Un ami qui a beaucoup voyagé m'a dit: "C'est dans les pays où il y a le plus d'églises évangélisques que tu trouveras plus de pauvreté, de crime, de violence, de pauvreté et d'ignorance." J'ai été choqué, et même un peu fâché par son commentaire.
Toutefois, en observant le Honduras, j'ai du reconnaître qu'il avait peut-être un peu raison. Au nom de l'évangélisation, on peu trouver une version extrême de l'évangile de la prospérité. "Enrichi le pasteur, et Dieu te fera du bien". (Évidemment ce n'est pas exprimé de manière si crue!). "Marche sur le tapis de la bénédiction, places-y un enveloppe bien bourrée d'argent, et le pasteur te oindra d'huile de bénédiction et de prospérité". (On fait fortune comme ça - le pasteur, je veux dire!)
Il manque de vrai repentance, et la foi dans le Seigneur est viré vers une foi dans des symboles, dans des figures d'autorité, ou dans des oeuvres. .. Les gens ne semblent pas avoir trop d'idée de la crainte de Dieu, ni d'une relation vivante avec le Père. Dans un pays où 4 enfants sur 5 se couchent sur leur faim, les églises ne semblent pas trop préoccupées en ce qui concerne la cause du problème. Certaines églises ont des "programmes" pour nourrir les pauvres, et accomplissent un certain bien limitée. Mais il semble aussi avoir un manque de compassion. Bien sûr, on devient endurci à la misère quand on la voit continuellement. Mais je ne peux pas m'empêcher de demander quelle sorte d'évangile est prêché quand les évangéliques ne sont pas vus comme étant vraiment différents des autres. Un bandit fait un hold-up dans la rue et saisit la portefeuille, la montre, l'anneau d'un homme. Quand il apprend que celui-ci est évangélique, il dit: "Je ne vol pas des évangéliques." Et il lui rend ces objets et son argent. Quand j'ai premièrement entendu une histoire semblable, j'ai pensé: "Les évangéliques ont un vrai témoignage de vie!" Maintenant je soupçonne que le braqueur se considérait luui-même évangélique et ne voulait pas dérober ses co-religionnaires. I l yavait peut-être un élément de peur aussi: "Dieu verra à ce qu'il soit attrapé s'il dérobe un autre évangélique!"?

Mais cela nous ramène chez nous au Québec. Quelle sorte d'évangile est-ce que nous prêchons et vivons? Est-ce un évangile qui transforme les vies? Est-ce que la repentance est le résultat de la crainte de Dieu aussi bien qu'une réponse à son amour? Ou est-ce simplement adopter un style de vie qui convient mieux? Est-ce que nous "suivons le seigneur" dans l'espoir qu'il nous aidera dns nos affaires? Est-ce pour cette raison qu'on raconte que le nombre d'Américains qui assistent à l'église a augmenté beaucoujp depuis le début de cette crise économique?
Est-ce que nous suivons la théologie des trois amis de JOb, qui semblaient penser que le fait de vivre pour Dieu était la manière d'éviter la souffrance? Qu'est-ce que nous devons faire?

vendredi 27 mars 2009

Honduras pictures

I have just uploaded a Picassa album of pictures from my various Honduras trips http://picasaweb.google.com/johnedfran/Honduras?feat=directlink . Some were taken by myself, some were taken by Melodie, a couple come from Wikipedia, as I used thes to build a PowerPoint. I have numbered them in the order in which they appeared in my PowerPoint presentation, and tried to label them to give an idea of the points I made in the presentation.

mercredi 25 mars 2009

Autour de la Croix





AUTOUR DE LA CROIX
par John Francis

Où te trouves-tu dans l’histoire de la Passion de Christ?

J’aimerais vous inviter à faire un petit voyage avec moi, dans le temps et l’espace, pour nous joindre au groupe de personnes qui ont été autour de Jésus au moment de la Passion :
Pierre, les autres disciples, Judas, Pilate, Joseph et Nicodème, les femmes…. Dans ce groupe, avec qui est-ce que tu t’identifierais?

Pierre, bien intentionné, mais un désastre au moment crucial
Les disciples aussi, bien intentionnés, mais absents, abandonnant leur Maître au moment difficile
Judas, mal intentionné, mais accomplissant le plan de Dieu malgré lui
Pilate, sans intention aucune à l’égard de Jésus, suivant la vague des circonstances
Joseph, Nicodème, et les femmes, démontrant leur affection pour Jésus jusqu’à la fin
Jésus Lui-même, avec ses besoins humains, mais ferme dans son intention d’aller à la croix.

Avec lesquelles de ces personnes est-ce que tu peux mieux t’identifier? Nous allons les examiner rapidement.

I. Commençons avec Pierre (Mt 26 :35, 73-75)
1. Aussi longtemps que Pierre confiait en Christ, il pouvait être loyal et courageux.
2. Nous, tandis que nous avons les yeux fixés sur Jésus, le Vainqueur, nous serons courageux.
3. Pendant que nous sommes en communion avec les autres croyants, nous serons courageux.
4. Pierre était assez loyal pour aller là où était son Seigneur quand tous les autres l’avaient abandonné (v.69)
5. Quand ton cœur te pousse à faire quelque chose par loyauté envers Jésus, ou par amour pour Lui, fais-le!
6. Mais Pierre était pressé à proclamer son courage et la grandeur de son amour, quand cela ne lui coûtait rien de le faire. C’est pour cela qu’il a été humilié.
7. Quand il s’agit de qui sera le plus courageux dans une certaine circonstance, vaut mieux se taire, et, en secret, déterminer que, par la grâce de Dieu, nous agirons avec le courage nécessaire quand la situation arrive.
8. Quand Pierre est tombé, il ne regardait pas son Maître, mais plutôt ceux qui le questionnaient. (Comme quand il avait marché sur l’eau). Nous devons maintenir nos yeux sur Lui toujours (Hé. 12 :2)
9. Pierre a su reconnaître son péché, en avoir honte, et il a recommencé à suivre son Maître.
10. Il y a toujours un pardon pour n’importe quel péché, si nous nous repentons sincèrement. Nous n’avons pas besoin de demeurer enfoncé dans la boue.
11. Mais – « Que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » (1 Co. 10 :12)
II. Mais continuons avec les disciples (Mt. 26 :56)
1. Jésus a été arrêté, et s’est laissé emmené paisiblement par les huissiers. Il a empêché que Pierre le défende. Les disciples, possiblement, auraient été prêts à vendre cher leurs vies dans une bataille pour défendre Jésus, mais ne pouvaient pas comprendre pourquoi il se laissait arrêter. Alors ils ont fuis, comme le dit Zacharie 13 :7 « Frappe le berger, et que les brebis se dispersent »
2. On a tendance à paniquer quand on ne comprend pas ce qui se passe. Pour les disciples, ceci n’entrait pas dans leur paradigme – dans leur vision des choses.
3. Nous ne comprenons pas tout dans la vie – ne le « pourquoi », ni, ce qui est plus important, le « dans quel but ». C’est alors que la foi entre en jeu.
4. Les personnes avec les meilleurs intentions peuvent se laisser dominer par la peur au moment critique. Nous devons nous tenir en garde, et en même temps être tolérants pour les autres.
5. Comme Jésus, nous devons apprendre à pardonner et à avoir confiance en eux de nouveau
6. Comme Jésus, quelquefois il faut souffrir seul! C’est une bonne occasion de nous approcher de Dieu et apprendre à dépendre de Lui
7. Mais nous ne devons pas obliger les autres à souffrir seuls
8. L’affliction c’est une école : pour ceux qui souffrent et pour ceux qui observent. Sommes-nous capables de souffrir seuls? Sommes-nous prêts à entrer dans les souffrances des autres?
III. Le personnage qui nous inspire le plus d’horreur c’est Judas (26 :14-16)
1. Le fait d’être associé à un groupe de croyants ne garantit pas que tu es sauvé « un des 12 » Actes 1 :17 « part au même ministère »
2. D’être membre d’une bonne église, impliqué dans un ministère – ne sert pas!
3. Ces choses te rendent plus responsable pour ton rejet du Seigneur « fils de perdition » Jn 17 :12
4. Ne joue pas avec l’Évangile – c’est dangereux!
5. Le fait d’exprimer ta repentance pour une chose ne signifie pas que tu t’es repenti pour le salut 27 :3-5
6. Cela peut être tardive, hypocrite, sans foi, ou incomplète.
7. Cette repentance n’a aucune valeur si elle ne t’amène pas à rendre ta vie au Seigneur Jésus.
8. Il est possible d’aller au-delà de la portée de la grâce de Dieu.
a. Sa pendaison n’était pas la cause, sinon le fruit de sa perdition
b. Il y a pardon pour quiconque vient à Jésus-Christ, mais on peut devenir endurci au oint qu’on ne puisse plus venir à Lui
9. Bien des personnes se considèrent enfants de Dieu parce qu’ils appartiennent à une église chrétienne ou pour un service quelconque. Si c’était ainsi, nous serions obligés à croire que Judas était un enfant de Dieu, quand il était un fils de la perdition.
10. On est seulement enfant de Dieu si on est né de Dieu, si on est né de nouveau. Et toi, es-tu enfant de Dieu?
IV. Je m’imagine que l’autre personnage le plus méprisé dans l’histoire biblique, c’est Pilate. (Mt. 27 :23-26)
1. On méprise Pilate parce qu’il s’est laissé manipuler par les autorités religieuses au lieu d’insister sur un jugement juste
2. Comme Pilate, tu es appelé à entendre les preuves
3. Tu dois choisir, non le sort de Jésus, mais la tienne
4. Comme Pilate, tu peux éviter de t’opposer à Jésus, sans t’engager personnellement à Lui
a. Tu peux chercher à ce que d’autres décident pour toi (voir le truc avec Barrabas)
b. Mais c’est toi, à la fin, qui devra décider
5. Comme Pilate, tu peux faire sourd oreille aux avertissements qu’on te fait (v.19)
6. Si tu entends un avertissement, vaut mieux arrêter et considérer la possibilité que ce soit Dieu qui te donne une autre opportunité de faire le bon choix
7. Comme Pilate, tu te sentirais sûrement justifié de suivre la voix de la majorité – en ce qui concerne la moralité, la vérité, etc.
8. N’attend pas à ce que la majorité suive Jésus – toi, suis-le même si personne d’autre ne veut le suivre
9. Comme Pilate, tu devras porter toi seul la responsabilité de ton choix au sujet de Jésus.
10. C’est Pilate et non les juifs, qui a décidé la mort de Jésus.
11. Tu ne peux pas dire que ta famille ou ton église ont décidé pour toi.
12. Que feras-tu de Jésus? Il ne t’obligera pas de choisir d’une manière ou d’une autre. Mais tu devras faire un choix. Choisis bien!
V. Les personnes les moins connus, dans le contexte de la Passion, ce sont ceux qui ont enseveli Jésus : Joseph d’Arimathée, quelques femmes, Nicodème (27 :57-61)
1. Nous pouvons apprendre d’eux à démontrer de l’affection pour le seigneur même quand nous ne voyons pas d’issue
2. bien que notre foi ne se base pas sur les sentimentalisme, l’amour démontre normalement un coté sentimental qui honneur Dieu.
3. Comme Marie avec le parfum de grand prix.
4. Comme Joseph, Apprenons à utiliser nos richesses pour démontrer notre amour pour le Seigneur
5. Apprenons à avoir le courage de confesser ouvertement de qui nous sommes disciples. Joseph, disciple secret, s’est déclaré quand cela comptait. (Marc 8 :38)
VI. Il semble que les personnes qui ont plus cru les paroles de Jésus étaient ses ennemis (27 :62-64)
1. Quoique les disciples allaient recevoir les nouvelles de la résurrection avec incrédulité, les adversaires se sont souvenus des paroles de Jésus et y ont porté attention!
2. Ils ont pris des mesures pour faire face à ce que Jésus avait dit.
3. Nous devons apprendre à prendre au sérieux ce que le seigneur a dit, autant dans ses promesses comme dans ses avertissements, et agir en conséquence.
4. Si nous agissons en conséquence de ce que nous prétendons croire, nous serons plus convaincants pour un monde incrédule.
VII. Le personnage le plus intéressant à étudier à la crucifixion, c’est Jésus! (Mt. 26 :38,42)
1. À Gethsémané nous le voyons dans son humanité, « tenté comme nous en toutes choses » (Hé. 4 :15)
a. Il avait besoin, comme nous, d’être accompagné dans son moment difficile, par quelques amis spéciaux
b. Nous devons être prêts à être présents avec un frère ou une sœur qui passe un moment difficile – ils ont besoin de ta présence aussi.
c. Il a prié dans son affliction
d. Il s’est non seulement résigné, mais dévoué activement, e consciemment, à la volonté du Seigneur
e. La manière dans laquelle nous faisons face aux afflictions (les nôtres, et celles des autres) démontre quel genre de chrétiens nous sommes
2. Durant son jugement, Jésus a été humilié, traité pire qu’un animal
a. « il s’est dépouillé lui-même, prenant la forme d’un serviteur » (Ph 2 :7)
b. Quand on nous humilie, nous devrions penser à ce que nous méritons. Nous rappeler que nous aurions une humiliation beaucoup plus terrible si ce n’était pas que le seigneur avait bien voulu prendre cette humiliation à notre place
3. Il a été jugé à notre place –
a. un jugement totalement injuste!
b. Dans notre cas cela aurait été un jugement parfaitement juste.
c. Quand nous commençons à nous inquiéter pou notre jugement future, nous pouvons nous demander : « Est-ce que Jésus a souffert tout cela en vain? » et cesser de nous inquiéter
4. Il a souffert à notre place – des coups de poing, des crachats.
5. Hébreux 13 :12-14
6. Il est allé à la croix pour nous 27 :32-36
a. Accomplissant les prophéties v.35 (1 chance en quelques trillions!)
b. Mort ayant pu se sauver (v.40,42)
c. Mort en démontrant le jugement de Dieu, la colère de Dieu sur le péché v.45
d. Mort abandonné de dieu v.46
e. Mort en nous ouvrant la port vers la présence de Dieu v.51 (le voile s’est déchiré)
f. Mort en démontrant sa divinité v.54

Cela ne sert à rien de chercher ta sécurité en autre chose ou autre personne que Jésus-Christ. Seulement Celui qui a accompli toutes les prophéties de celui qui juge, peut sauver du jugement. Ne cherche pas à te sauver, à te racheter auprès de Dieu, par tes propres moyens. C’est sur ses termes, et par ses moyens que cela se fait.
Nous avons vu comment le péché est sérieux. Ne joue pas avec le péché. Ne le traites pas à la légère.
De l’autre côté, quand Jésus est mort sur la croix, Il a pris cela volontairement, pour pouvoir recevoir Pierre de nouveau à bras ouvert; pour recevoir les disciples qui l’ont abandonné; sa mort aurait été suffisant pour Judas, et pour Pilate, si ceux-là auraient bien voulu venir à Lui. Oui, le péché est sérieux. Quand on voit ce que cela a coûté à Jésus, on veut l’éviter à tout prix. Mais quand on a péché, il ne faut pas éviter Jésus, sinon venir à Lui pour être restauré – c’est pour cela qu’Il a payé le prix!

Introducing myself




Well, this is my first attempt, so I'll start by just introducing myself. I am pastor of a small Baptist church in Chibougamau, Quebec, was a missionary in Spain for 18 years, and for the past 3 years have been visiting Honduras with my wife, Lise (10 days each year). I am the father of five adult children.

We returned from our last trip to Honduras on March 5th, where we regularly spend time in children's Home where our daughter Melodie works. As we are each time we were impacted by the immense poverty that seems to be self-perpetuating, and by the impact our North American companies are having on the Honduran people. Next Monday evening Lise and I will be putting on a presentation about our impressions of Honduras in the local college. Someone I invited asked: "Will this be religious?" I said "no", but afterward I realized it will be very religious, since part of true religion is "visiting the widow and the orphan" according to James.

As I am doing this from a dial-up situation, I will leave this for today.

May God bless you all!